Salut, Gilles !

 

Le Monsieur derrière moi, c'est Gilles Guillon qui quitte les éditions Ravet-Anceau ce soir. Eh oui, dernier jour pour le créateur de Polars en Nord en 2005. On aura bossé en tout 2 ans ensemble, deux ans avec celui qui a su créer une vraie collection de polars. J'entends par-là :  qui laisse sa place à toutes les formes du genre : suspense, enquêtes, polar psychologique, humoristique... j'en passe et des meilleures. Une démarche que l'on peut aisément rapprocher de celle de Marcel Duhamel, le créateur de la Série Noire chez Gallimard dans les années 40. Ce fut un grand plaisir de faire un petit bout de chemin avec lui, avec quelqu'un  qui connaissait son affaire, qui répondait à vos mails dans les 20 minutes maxi (sauf absence), qui savait prendre les bonnes décisions, qui ne vous faisait pas perdre votre temps mais en gagner. Enfin, après 25 années d'envois de manuscrits, j'avais enfin trouvé la perle rare. Il va partir pour son tour du monde en février prochain, et après, comme il le dit lui-même : il verra. Polars en Nord continue sans lui, mais avec Maxime Gillio, un auteur maison, un auteur Polars en Nord, alors, bon voyage, Gilles, see you soon, et vive Polars en Nord de l'an II.

Évasion

 

Photo Régine Vast 

 

Merry Christmas everybody !

 

 

 

Idée cadeau

 

Eh oui, c'est la période, alors, si vous cherchez encore pour Noël, bien, pour vous aider et sans vouloir abuser, je vous suggère par exemple l'achat d'un de mes romans. Choix et éclectisme garantis, il y en a pour tous les goûts. Et tout se passe dans la colonne de droite.

 

Vous pouvez aussi faire un saut sur mon site tout neuf :

 

http://www.wix.com/patvast/accueil

N'oubliez jamais

Hier je n'ai pas été tendre avec les Rolling Stones, mais bon, on ne peut pas se permettre d'être de leur pointure et sortir n'importe quoi. Aujourd'hui, un morceau de Joe Cocker qui me touche particulièrement : "N'oubliez jamais". Même si le texte fait surtout référence à une certaine nostalgie, l'oubli en tout sens n'est que le prélude à l'anéantissement. On ne peut refouler le primordial, mais toujours être capable de  se définir et se positionner. Couleur accordéon dans ce morceau, un zeste de world music pour servir le feeling de Joe "the Voice" Cocker.

 

Shine a light

On était loin de la lumière hier soir sur ARTE avec ce film de Martin Scorsese consacré à un concert des Rolling Stones. Le travail du cinéaste n'y est pour rien, il s'est montré très méticuleux, très perfecionniste, mais c'est le groupe qui était très mauvais. Eh oui, les Stones ont très mal joué. Son horriblement brouillon, rythme qui s'effondre à de multiples reprise et enfin, Jagger qui gesticule beaucoup mais chante faux pratiquement du début à la fin. J'attends toujours le verdict pour mon roman rock où, justement, les Stones y jouent un rôle important. J'espère que la prestation de hier soir n'est pas un mauvais présage. En tout cas, un peu plus tard, sur la 3ème chaîne, il y avait un concert d'Eddie Mitchell, et là, professionnalisme absolu. Tout était parfaitement en place, musiciens, voix, avec un jeu de scène pas mal du tout pour un Monsieur de 70 balais.