2ème chronique pour "Duo fatal"

Des références à Georges J. Arnaud, Boileau-Narcejac et Louis C. Thomas, l'oncle Paul, alias Paul Maugendre, la mémoire vivante du polar, me comble au plus haut point. 

Je n'en dirai pas plus et jugez par vous-mêmes :

http://leslecturesdelonclepaul.over-blog.com/2019/05/patrick-s.vast-duo-fatal.html

Le temps du temps

qui s'écoule, comme un voyage, comme une route infinie de chansons, époque d'utopies, époque impérissable.

Enjoy !

Constatation/guitare

La voix se veloute et se voûte

Sur une texte de Régine, future patronne du Chat Moiré éditions, et sur une musique de myself, voici un hymne bluesy que je joue et je chante, que j'interprète, pour faire court.

Enjoy !

La voix se veloute

 

1ère chronique pour "Duo fatal"

Et nous la devons à Cassiopée, lectrice émérite au sens aigu de l'observation livresque.

Enjoy !

http://unpolar.hautetfort.com/archive/2019/05/05/duo-fatal...

Duo fatal publié !

Quand vous l'aurai lu, vous ne verrez plus votre dentiste de la même façon. Parole ! Alors, pour en savoir davantage, plongez-vous vite dans mon quinzième roman.

Et pour le commander, c'est en dessous :

commandechatmoiré.pdf

Quand j'étais chanteur

Je n'étais pas vraiment inspiré par Michel Delpech (référence au titre), mais plutôt par François Béranger via Dylan et tous les protest singers des sixties. Nous étions là dans les seventies et si Béranger m'inspirait, je puisais surtout l'inspiration dans le contexte de l'époque. Cette chanson dont je pensais n'avoir écrit qu'un seul couplet et dont j'ai oublié le titre que je lui avait donné, a été écrite et composée en 1977.

Je ne sais pas si dans quarante ans mes romans ne dateront pas trop, en tout cas, pour ce qui est de cette composition, force est de constater pour moi qu'elle sonne drôlement actuelle.

Une mention spéciale et un grand merci à Raymond qui, d'une K7 du XXème siècle, a réussi à tirer ce précieux MP3.