FIN différée

  

Hier, je comptais écrire le mot FIN à mon dernier polar dans l'après-midi. Et voilà que soudain me vint l'idée de changer radicalement cette fameuse FIN. Cela m'était déjà arrivé lors de l'écriture de "La veuve de Béthune", mais j'y avais songé alors que j'approchais du dénoument, soit 2 ou trois jours avant. Là, ce fut plus chaud, et le mot FIN fut écrit finalement à 22 h 01. Les personnages vivent, et le pauvre auteur doit bien souvent leur obéir, surtout lorsqu'il découvre qu'il a doté l'un d'eux d'une psychologie particulière, génératrice d'actes imprévus. Bon, maintenant, re-relectures en corrélation bientôt avec les corrections de "L'Héritière d'Owlon", puis envoi chez Ravet-Anceau. Au fait, le 2ème polar c'est pour 2011.