Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/02/2017

Focus sur "Passions sur la Côte d'Opale"

L_PassionsOpale_couv.jpg

 

"Quand Adrien, artiste peintre bohème, et Marianne, douce rêveuse, se sont parlés sur la plage, ce fut le coup de foudre. Un simple bonjour échangé et toute leur vie a été bouleversée. La problème, c’est que Marianne est une simple poissonnière, alors qu’Adrien est le fils d’un riche entrepreneur du textile. D’ailleurs, ce dernier vient de conclure un mariage de raison pour son fils. Il épousera Clotilde, une jeune femme passionnée d’automobiles qui fume et boit du whisky. L’exact opposé d’Adrien, mais pas de Maximilien, son frère aîné, revenu de la guerre en héros, mais défiguré."

 ISBN : 9782359731163

En 2009, alors que je venais de publier mon premier polar  chez Ravet-Ranceau, l'éditeur décidait de lancer Euphoria, une collection de romans dits sentimentaux.

N'étant pas du tout fan de cette littérature mais aimant les challenges, je décidai donc d'en écrire un.

Je le traitai bien sûr à ma manière, et ainsi naquit "L'aigle d'Opale", devenu "Passions sur la Côte d'Opale" pour coller à la politique éditoriale d'Euphoria, un véritable historico-rétro-sentimental.

Je m'explique. Il n'était bien sûr pas question de donner dans l'eau de rose, alors je choisis un fond historique intéressant : les années 20, et je remplaçai le bellâtre de service par une gueule cassée de la guerre 14/18.

Ne riez pas, c'est tout à fait crédible. Ombre au tableau : la couverture et le fait que la collection Euphoria ne connût que six titres.

Oui, question couverture, j'eus aimé une Bugatti ou un avion Blériot, enfin quelque chose qui sonne réellement année 20.

Achat, par exemple sur le site de l'éditeur pour 4 euros au lieu des 8 initiaux :

http://edition.ravet-anceau.fr/produit/passions-sur-la-cote-d-opale-n-3/

Ou partout ailleurs.

 

Les années 20, c'est aussi le charleston dans lequel baigne le roman, alors musique, please !

 

 

Les commentaires sont fermés.