Herboristerie (suite)

Voilà, on a convenu des réajustements à faire au polar herboriste pour arriver à quelque chose de parfait. Il n'y a plus qu'à sortir la seconde mouture. Pour la publication, il faudra sûrement attendre 2017, car un certain "Incarnatio" va pointer le bout de son nez chez Fleur sauvage le 4 novembre prochain.

Pour le polar herboriste, qui dit plantes, dit pratiquement homéopathie, alors ce sera chez Aconitum comme "Insoumis".

À suivre...

Focus sur Aconitum

Le bon docteur  whoo donne ici son diagnostic :

 

http://www.whoozone.com/actualites/article-4040-201605174...

Prélude à un roman

Je suis à fond dans l'écriture de mon nouveau roman qui se déroule en 1974, et notamment à Avignon. C'était l'époque où ceux que l'on appelait "les hippies", investissaient la ville, tout particulièrement au moment du festival mais pas seulement.

Ambiance de l'époque pour saisir une partie de l'ambiance du roman :

 

Dédicace du 7 mai à Berck-sur-Mer

C'était à la Maison de la Presse, là où j'achetais mes Bob Morane, mes Rock'n'Folk, toujours  un moment d'émotions. Puis, le temps passe et maintenant il y a mon Igneus, mon Insoumis...

Toujours d'actualité

C'était le 11 novembre dernier, spéciale dédicace collection 14/18 de chez Pôle Nord Éditions :

Reportage :

http://www.whoozone.com/actualites/article-3964-201604143...

Et pour se procurer le roman :

http://www.polenordeditions.fr/catalogue/le-ruisseau-rouge/

 

 

 

 

Ce que je suis en train d'écrire

Voilà, il fallait que je l'écrive ce roman de littérature dite blanche. À savoir, un roman qui n'est ni du polar, ni de la SF, ni du fantastique, un roman/roman en quelque sorte. Avec un thème que les moins de 50 ans ne connaissent peut-être pas mais qu'ils découvriront. Le temps d'avant la crise. Je parle de la vraie, celle qui a démarré à l'automne 74, pas celle de 2008, celle des banquiers, des financiers et des spéculateurs de tout poil. La crise de 74 n'a pas effrayé les banquiers qui ont continué à bien se porter, elle s'est "seulement" attaquée aux gens qui bossaient et qui du jour au lendemain ont découvert les sigles ANPE et ASSEDIC.

Donc, avant cette crise, l'utopie était à son zénith. On avait des rêves, des idéaux, on prenait la route, on se barrait... Mon roman va parler de tout cela et, en guise de mise en bouche, voici une vidéo où s'exprime Michel Corringe, un auteur-compositeur-interprète décédé en 2001, à qui je dédierai mon roman.