Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/07/2017

Sur l'écran noir de nos nuits blanches

Vivent des  immortelles dans les chefs d'œuvre intemporels...

 

12/07/2017

Ce n'est qu'un au revoir...

à un endroit superbe qui doit hélas, mille fois hélas, fermer !  C'était à Lille dans le pittoresque quartier de Wazemmes, une lourde perte...

15/06/2017

Encore des fleurs

19059834_1482214401801496_8869849917532645717_n.jpg

C'était le mercredi 14 dernier à la bibliothèque universitaire de Béthune, toujours pour soutenir les éditions Fleur Sauvage/Aconitum.

10/06/2017

Blues Toujours

08/06/2017

Autant en emporte le temps

966025_10200522483036975_857412805_o.jpg

avec la rouille, les joies et les tourments.

05/06/2017

London Blues

Dans les années 70 on prenait le Ferry pour l'Angleterre, destination Londres. Dans les rues colorées de la ville, on se baladait tranquille. Londres c'était la Mecque, la Lourdes, la Bénarès de la musique, que de la bonne religion. C'étaient les seventies, on étaient pacifiques, pacifistes, guère attirés par la chose militaire. Qu'écoutent donc les têtes molles de nos époques contemporaines ? Sans doute  les sirènes de ce démon que les Stones évoquaient en 69 à Hyde Park ? Allez savoir...

Que revienne le peace and love et cette fois, que les conformistes ne détruisent pas tout pour imposer leur monde débouchant sur la folie meurtrière, les souffrances et le sang. Leur vieux monde qui n'a engendré que les guerres, peut enfin disparaître et eux, enfin, s'effacer. Place au neuf, construisons l'avenir à partir du passé, celui qui savait s'affranchir des idéologies morbides, celui du summer of love, du flower power.

London blues, seventies blues, technocrates blues, business blues.

Et aucune sympathy for the devil, aucune sympahie pour les démons.