Coffee Time

À la recherche du temps perdu ou du moins qui passe...

 

Promenade "proustienne" ce matin, dans une rue où j'ai vécu entre juillet 1976 et mai 1977. Il s'agit de la rue de Gand, située  à Lille et plus précisément dans le quartier dit du "Vieux-Lille" qui l'est devenu beaucoup moins que dans les 70's, pour cause de rénovation des bâtiments et... des populations.

 

 

 

 

 

À l'époque on n'était pas envahis par les bagnoles, on y respirait bien et je pouvais aller acheter mes Bastos blondes (un coup de pot d'échappement = 3 cartouches de clopes minimum) au Django qui est toujours fidèle au poste.  

 

La portion de la rue que j'habitais...

 

C'était au 43

 

 

Le rez-de-chaussée était alors occupé par l'atelier de Milou, un peintre-sculpteur et surtout un personnage haut en couleur de l'authentique Vieux-Lille.

À la place on trouve maintenant un restaurant spécialisé dans la cuisine du sud-ouest, ce qui est assez amusant quand on sait que j'ai vécu plus de 10 ans à Toulouse et 3 ans dans le Gers...

 

Et voici la porte de Gand qui termine la rue. À l'étage c'est encore un resto. Il doit bien y en avoir une quinzaine maintenant dans la rue, alors qu'en 1976/77, on comptait un resto oriental et le bistrot d'Hacène. Par contre on disposait d'une boucherie, de trois épiceries et de deux boulangeries-pâtisseries. Autres temps autres mœurs, comme on dit...

 

 

 

Polars en Nord junior

Eh oui, la collection Polars en Nord de chez Ravet-Anceau a engendré un format junior. Des polars pour les plus jeunes avec déjà deux titres, "Pas de braderie pour Charlie" et "Tueur nain" :

 

http://www.ravet-anceau.fr/accueil.asp

 

 

Templemars 2013 (suite)

Je vous parlais hier du salon du polar de Templemars en septembre prochain, eh bien, en voici l'affiche :

 

Templemars revient

Templemars, c'est une ville du Nord (près de Lille), mais c'est aussi le lieu d'un fameux salon du polar qui se tient à la fin septembre. Alors, on s'y prépare et, en attendant, on consulte :

communique de presse polar 2013_dernière.pdf 

Just for fun

 

On les appelait avec élégance des Parisiennes. Des clopes à 20 centimes de nos anciens francs... Au temps où l'on pouvait fumer dans les troquets, quand le mot "liberté" avait encore un sens...