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11/11/2016

Une soirée à Aire

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Soirée sympathique à Aire-sur-la-Lys, cité chargée d'Histoire. Rencontre autour du roman, de l'écrit, de l'expression.

07/11/2016

Route toujours

Comme vous le savez, "Incarnatio" c'est pour dans J-7. Alors j'ai repris les relectures et corrections de mon roman routard, mon road-movie des années 1970.

Et pour l'ambiance, quoi de mieux qu'un bon vieux Antoine de 66 ?

05/11/2016

Au salon

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Salon du livre et de la BD de Coudekerque-Branche (près de Dunkerque) ce samedi 5 novembre, et première incartade pour "Incarnatio"...

27/10/2016

Incarnatio (genèse et écriture du roman)

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Alex Shade, tueur à la hache qui a apporté gloire et fortune à James Simmons, devient son pire cauchemar quand le romancier se met à croire que le personnage qu’il a créé s’est incarné et le pourchasse....

 

La date du 14 novembre approchant peu à peu, il est temps que je vous en livre plus sur le roman.

Au départ, « Incarnatio » devait être un roman fantastique, on devait se situer dans le domaine de l’irrationnel le plus complet.

Ainsi il était question d’un romancier dont le personnage récurrent se matérialisait, s’incarnait (d’où le titre qui signifie incarnation en latin ecclésiastique, eh oui…), dans la vraie vie, pour venir tourmenter son créateur. Il sortait des écrits, de l’ordinateur du romancier, pour surgir dans son quotidien.

Ça, c’était au départ. Puis, j’ai pensé qu’il serait plus intéressant de traiter le roman sous la forme d’un thriller et de demeurer dans le rationnel.

Le principe restait au final le même. Le romancier se retrouvait un beau jour face à son personnage. Mais comme on ne se situait pas dans le fantastique, il pouvait s’agir du parfait sosie de ce personnage, d’une ressemblance troublante, ou alors… et c’est là que ça devenait intéressant. Car je pouvais aborder alors différents thèmes, comme la frontière entre le réel et la fiction, la création littéraire, l’imagination.

Un personnage de roman peut-il naître de rien, ex nihilo, c’est-à-dire de la seule imagination du romancier ? Ou encore, l’imagination n’est-elle que le fruit du travail intense des neurones du cerveau ? Quel est le rôle du vécu, du passé, voire d’un éventuel traumatisme enfoui ?

Voilà les thèmes que l’on trouve dans « Incarnatio » et qui, à mon sens, concourent à l’intérêt du roman.

Je vous rassure, il ne s’agit pas d’un traité philosophique mais bien d’un thriller. Seulement, si je suis adepte d’une bonne intrigue et d’un suspense de bon aloi, je ne conçois pas un roman sans au moins un thème de fond, un message à délivrer.

Fort de cela, parallèlement au rapport entre romancier et personnage de roman, j’ai abordé également la relation entre personnage fictif ou censé l’être, et le lectorat. Et s’agissant d’un tueur à la hache, individu plutôt négatif, je me suis interrogé sur la fascination qu’il pourrait exercer et la fantasmagorie qu’il pourrait engendrer, avec toutes les conséquences éventuelles.

 

Suivant mon habitude, j’ai écrit ce roman en allant à l’essentiel, en demeurant concis, puisque n’ayant jamais eu l’obsession de produire un « pavé » à tout crin, mais d’offrir une bonne histoire, une intrigue bien ficelée. Loin de moi l’idée de digresser, de tergiverser, de m’adonner à du remplissage inutile. Puis, si l’imagination fait partie du plaisir d’écrire, elle contribue tout autant à celui de la lecture. Le lecteur doit rester maître de ce qu’il lit sans être bombardé d’une foultitude de détails que son imaginaire peut très bien produire. Autre point pour expliquer un rythme souvent soutenu, la réalité judiciaire ayant évolué avec les nombreux moyens techniques existants. Au nombre de ces moyens on compte par exemple tous les systèmes de vidéosurveillance ou apparentés qui permettent d'appréhender rapidement des suspects, voire des coupables. Ne pas prendre en compte ces nouvelles technologies dans un récit, reviendrait à tourner le dos à la réalité, en tout cas au réalisme.

Sur ce point, l’action se situe sur la Côte d’Azur et en partie à Nice. J’ai remis mon manuscrit en avril 2016, avant les tragiques événements de la promenade des Anglais. Avec l’éditeur, nous avons tenu à le préciser et à rendre hommage aux victimes de la tragédie et à leurs familles.

 

Voici tout ce vous trouverez dans « Incarnatio ». Adepte d’un certain éclectisme, je tenais à écrire un thriller psychologique après la publication d’un roman noir « Insoumis », et avant celle d’un polar d’ambiance et d’atmosphère « Potions amères », à paraître au printemps.

Bonne découverte et bonne lecture à venir de « Incarnatio » !

 

26/10/2016

At home

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Il est à la maison depuis hier, amené par mon éditeurs. Bon, il n'y en a  pas qu'un comme vous le voyez. Sortie nationale le 14 prochain !

À suivre...

22/10/2016

"Incarnatio" le retour

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Retour en l'occurrence de chez  l'imprimeur. Mon éditeur qui est assez facétieux ne me l'a pas indiqué et garde les précieux livres bien au chaud chez lui. Mais j'ai appris ce retour de chez l'imprimeur en zonant sur face de bouc, grâce à la vidéo d'une chroniqueuse qui va pouvoir le lire....

Mais bon, la sortie nationale est seulement pour le 14 novembre, voilà ce qui explique tout...

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En tout cas, je présenterai l'opus, comme on dit de nos jours, en avant-première, le 5 novembre prochain après le repas (post meridiem) comme disaient les Latins, au salon du live et de la BD de Coudekerque-Branche (près de Dunkerque).

Cette année c'est un spécial Tibet, le dessinateur disparu. Grand moment d'émotion pour moi qui me passionnait dans mon enfance pour les aventures de Ric Hochet (figurant sur l'affiche), grâce aux bonnes feuilles du journal Tintin.

Je me plairais à espérer la présence d'André-Paul Duchâteau, le scénariste de la BD et auteur belge de polars talentueux, mais comme il affiche quand même 91 ans au compteur...