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05/07/2017

Ça se précise

Pas trop présent sur ce blog et pour cause... La création de mon nouveau label se précise. L'imprimeur est trouvé, l'infographiste a réalisé le projet de couverture et de 4ème de couverture qui me vont très bien. Hier, atelier à la chambre de commerce, un nouveau rendez-vous en juillet. Il ne restera plus qu'à procéder à l'immatriculation et autres démarches dont l'obtention de l'ISBN et, "Potions amères", le polar herboriste que j'annonce depuis des années, sortira enfin. Ce sera le premier d'une série de polars psychologiques, d'ambiance et d'atmosphère, avec un emballage vintage, mais  une histoire bien ancré dans notre époque.

À part cela, j'ai confiance en ce qui concerne "Le temps des scoubidous", mon roman années 60 que j'espère confier très vite à un éditeur celui-là. Eh oui, à cheval entre le label maison et d'autres éditeurs, voilà le chemin que je me suis fixé.

À bientôt...

25/06/2017

Humeurs du samedi

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Une excellente journée hier samedi à la librairie Humeurs Noires à Lille. Une superbe librairie, avec ses livres bien sûr, mais aussi son décor, son sous-sol. Un vrai petit bijou de librairie... mais qui va fermer à la fin juillet pour manque de viabilité... On en est là. La sacralisation des centres commerciaux, du consumérisme aliénant, des expéditions dans, ce que certains appelaient il y a quarante ans, "l'antre du capitalisme", tout cela stérilise les centres de nos villes, ou, au mieux, leur en fiche un sale coup.

J'ai vécu à Lille dans les années 1970. À cette époque, un tel bijou de librairie n'aurait pas désempli du matin au soir. En ce temps-là, on moquait les jeunes cadres dits dynamiques, les fanas du business. Mais de nos jours, les jeunes cadres dynamiques sont au pouvoir, c'est même leur triomphe.

Il reste l'espoir que tout est cyclique, que la roue tourne. Et reviendra le temps, peut-être pas si lointain que cela, où l'on se moquera à nouveau des jeunes cadres dynamiques qui en auront barbé plus d'un, et que des petits bijoux de librairie comme Humeurs Noires, ne désempliront plus du matin au soir.

21/06/2017

Samedi Corbeau

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Rendez-vous à la librairie Humeurs Noires, lieu-dit "Le corbac", à Lille dans le pittoresque quartier de Wazemmes.

C'est à partir de 11 h 30 et il y aura des fleurs sauvages et des aconitums, et, paraît-il, également des pizzas.

 

Annonce :

 

http://www.whoozone.com/actualites/article-4902-201706154...

 

Dans le texte, remplacez Vaast par Vast, par ces grosses chaleurs, un seul A est déjà suffisamment lourd à porter.

14/06/2017

Dernière nouvelles (avant d'autres)

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J'ai terminé mon roman année 60. 370 000 signes, plutôt un beau bébé. Les années 60 en milieu rural, dans un village, avec son rock, sa bande de blousons noirs, son cinéma, sa vie... Il y a de tout cela dans ce roman roman ou littérature dite blanche. Il y a des SIMCA, de la musique, des joies, des peines... la vie et peut-être aussi la mort. À suivre...

Les re-relectures ont commencé, le reste suivra.

Le projet de mon ouvrage sur le rock qui devrait sortir chez Ikor éditions n'est pas abandonné, j'ai eu des nouvelles, à suivre également.

Puis, il y a toujours l'élaboration de ma nouvelle maison d'édition qui sera familiale et qui publiera mon polar herboriste dont je parle depuis pas mal d'années déjà. Mais non, ce n'est pas l'Arlésienne, vous l'aurez d'ici la fin de l'année en main.

28/05/2017

Il y a des visionnages utiles

Hier j'ai fait force provision de DVD à ma médiathèque attitrée. Parmi ma pêche, se trouve le film  "Jean-Philippe", avec Fabrice Luchini et bien sûr Johnny Hallyday. Je n'avais jamais vu ce film. Au-delà de son concept tout à fait intéressant, il m'a permis de rectifier mon tir à propos du roman très  années 60 que je suis en train d'écrire. En effet, dans le film, Johnny Hallyday se trouve avoir pour rival un certain Chris Summer. Or, dans mon roman, l'un de mes personnages qui rêve de détrôner Hallyday, s'appelle, ou plutôt s'appelait, Pat Summer. Je pense que pour le patronyme "Summer", le scénariste du film a suivi la même démarche que moi. Hallyday ressemblant au mot anglais holidays signifiant vacances, et les vacances évoquant l'été, on en arrive à "summer". Mais bon, si chez moi le Summer se prénommait Pat et non pas Chris comme dans le film, j'ai rectifié le tir ce matin. J'ai conservé le Pat, mais pour le reste j'ai eu recours à une petite subtilité qui, ma foi, donne un résultat plus intéressant.

J'en suis à presque 261 000 signes, donc, à suivre...

26/05/2017

Ami(e)s de ce blog

bonjour ! Pour reprendre le leitmotiv d'une célèbre émission radiophonique devenue maintenant intemporelle. Le soleil brille sur Septentrion et ça met de bonne humeur.

Le logo de mon futur label d'édition a pris forme. Bien sûr, je ne puis encore le dévoiler, mais il est évident qu'il s'agit d'un chat... Et pour cause, chat et polar font bon ménage.

Mais mon actualité pour l''instant, c'est un roman inscrit dans les années 60, au temps des "blousons noirs", ces bandes de jeunes qui jouaient "l'équipée sauvage" à leur manière.

Le roman a dépassé ses 250 000 signes, autant dire qu'il est en bonne voie...

Et pour l'illustrer, voici un morceau "Nous les blousons noirs", par un artiste que l'on ne voit pas beaucoup. Mais ce ne sera pas le premier à ne pas faire partie des enfants gâtés du système... On en compte déjà un paquet. Il en est d'ailleurs de même de beaucoup d'auteurs, de polars ou autres, renommé ne rimant pas forcément et toujours avec qualité.