10/11/2011
Dédicace exquise nouvelle
La librairie l'Eternelle Retour 77 rue Lamarck Paris 18ème, organise le 17 novembre prochain une séance de dédicace
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09/11/2011
Salon du livre de Lumbres (62)
Je continue avec mon programme de dédicaces jusqu'à la fin de l'année :
couverture dépliant et page 4 _(1_).pdf
19:18 Publié dans Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
08/11/2011
En pleine méditation
Au salon du livre de La Bassée (59) le 24 octobre dernier.
19:08 Publié dans Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook
Pétition
Parce que
N'est pas
Pétition contre l'augmentation de la TVA sur le prix du livre
http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2011N16249
19:00 Publié dans Actualité et divers | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
06/11/2011
Deux pour le prix d'une
En 2006, j'avais répondu à un appel à textes sur le thème du hasard. Ma nouvelle n'a pas été retenue, mais cette participation m'a permis d'écrire "La jeune femme du compartiment", une histoire qui se passe durant la seconde Guerre mondiale, que vous pouvez retrouver ci-dessous :
Un an plus atrd, j'ai eu l'idée de transposer l'histoire à notre époque et de passer du train à vapeur au TGV. Exercice intéressant qui donne deux textes avec beaucoup de similitudes tout en étant différents.
11:06 Publié dans Mes nouvelles en ligne | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook
05/11/2011
Les bistrots du port
Les bistrots du port
Sont les refuges des âmes en attente, baignant dans la nostalgie d’un temps d’avant
Ce sont les senteurs de tabac de miel et d’ale moussante
Des filles perdues cherchant la chaleur des boiseries trop encaustiquées
Fuyant le crachin de l’hiver et l’empressement de futurs naufragés
Les bistrots du port
Sont les souvenirs des fantômes aux cirés couverts d’embruns et de plus soif
Perdus dans un Valhalla sans guerriers, mais rempli de corps brisés par les lames de fond
Les bistrots du port, ce sont des nuits au carrefour des matins de brouillard
Quand on se souvient de ceux qui sont partis à l’aube
Pour des marées d’exception
La fortune aux confins de Terre-Neuve
Les retours espérés avec la cale pleine
Les bistrots du port sont les sarcophages terrestres
De ceux qui ont cédé aux langueurs du chant des abysses
Et que de vieux compagnons évoquent
En levant leur bock
En tirant sur le tuyau de leur pipe
Et en clignant des yeux en signe d’adieu et de regrets.
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