Polar toulousain

Je termine les dernières corrections de mon polar herboriste avant de l'envoyre chez Ravet-Anceau, et ensuite, comme je l'ai déjà dit, je commence un nouveau roman se déroulant cette fois à Toulouse, ville où se sont écoulés, tels La Garonne ou le canal du Midi, 10 ans et 6 mois de ma vie (novembre 78- avril 89).

Ce polar sera assez différent des précédents, plus proche du roman noir et résolument rock.

La preuve, voici en préambule "Riot in Toulouse" (hé, hé) par Little Bob Story en 77.

Dédicaces du 11 juin

Demain, avec 5 autres auteurs Ravet-Anceau, dédicaces à la Maison de la Presse de Rue (Somme) pendant le marché de 9 h à 13 h. Il ne devrait pas pleuvoir, sinon des dédicaces, bien évidemment.

Re-re

 

Je suis dans l'herboristerie jusqu'au cou. La faute à quoi ? Aux re-relectures de mon dernier polar qui se déroule dans ce milieur assez particulier. Enfin, j'ai tissé une intrigue pour qu'il le soit et pas qu'un peu.

La vie en miettes

 

Décidément, l'ORTF exagère en ce moment. Voilà que ce soir, sur sa 3ème chaîne,  c'est l'adaptation de "La vie en miettes" de Boileau-Narcejac, encore deux qui comptent parmi mes favoris. Ils n'ont pas l'air de se douter que j'ai un manus à re-relire. Vite, du Julie Lescaut et autres Navarotudes que j'éteigne le poste et que je puisse bosser.

Prochaines manifestations

 

Mercredi 8 juin : remise des prix du concours de lecture à la librairie Résonances à Avion (62) de 10 h à 12 h

 

Samedi 11 juin, avec d'autres auteurs Polars en Nord, on fête la Saint-Rafarin en dédicaçant à la Maison de la Presse de Rue (80) de 9 h à 13 h durant le marché

 

Samedi 18 juin, dédicace à Auchan Béthune avec mon confrère de Polars en Nord, Philippe Declerck ("Le réseau Flandres")

Les courriers de la mort

Je ne vais pas devenir chroniqueur TV, loin de moi cette idée, mais il se trouve que deux soirs de suite, la 2ème chaîne nous a livré un polar de très bonne facture. Il est vrai que nous avions déjà vu au moins deux fois "Les courriers de la mort", mais c'est une occasion de constater combien une  bonne histoire peut être vue et revue sans problème. Comme pour le cas du polar de vendredi soir, dans celui-ci, la main de Pierre Magnan est prépondérante. Ses polars ruraux, rétro, ancrés dan la Provence passeront forcément à la postérité, ou alors c'est à ne plus rien y comprendre.