Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/06/2011

FIN encore

FIN

 

Je savais bien qu'avec mes oreilles débouchées, le roman allait être pulsé. Voilà qui est fait, il est terminé. Maintenant, 15 jours de re-relectures et ce sera bon pour envoi aux éditions Ravet-Anceau. Ça en fera 2 en stock, le précédent ayant été envoyé fin janvier. Alors, pour laisser un peu tranquille mon éditeur dont la spécifité est de publier des polars se déroulant dans la région Nord, celui que je vais commencer dans 15 jours se déroulera à Toulouse. Plus de 10 ans de ma vie là-bas, ça marque, et si Paris vaut bien une messe, Toulouse vaut largement un polar.

Commentaires

Te voilà récompensé d'un labeur acharné. Par contre, tu ne prends que 15 jours de correction ? Pour ma part, lorsque un texte est fini, je le laisse quatre semaines dans un tiroir sans y jeter un oeil. Après je relis tout et note les incohérences ou les baisses de régime dans l'intrigue. A la fin, je reprends chaque page et corrige la syntaxe, les répétitions, les lourdeurs et les fautes. Mais bon, on a chacun nos trucs.

Mon polar est à 120 000 signes ; j'approche doucement de la moitié. Un personnage féminin s'est incrusté sans que je le veuille à mon quinzième chapitre ! C'est une idée qui me tenait à coeur depuis longtemps sans que je l'exploite. Mon personnage central est une septuagénaire enquêtrice psychique. Elle se sert de dons médiumniques pour aider les familles endeuillées ou à la recherche de personnes disparues. Du coup, j'ai dû changer mes chapitres planifiés. Je vais donc bientôt commencer mon seizième chapitre pour vingt-cinq de prévus.

Bon courage pour ton polar toulousain. J'attends la suite de tes informations cher Patrick.

Écrit par : Erwan | 03/06/2011

Salut Erwan. En fait, ce sont 15 jours de relectures intensives. Une relecture écran et 7 ou 8 papier. Je préfère m'y plonger tout de suite pour rester bien connecté au récit. Je vois que ton polar avance. 120 000 signes, ça fait le double de mon calibre de prédilection. Ça m'a l'air fort intéressant. Pour le polar toulousain, j'attaque dès que celui-ci est envoyé. À+

Écrit par : Patrick S. VAST | 04/06/2011

Comment ça le double ? Tes polars ne font pas 60 000 signes espaces compris ! Ils doivent osciller entre 240 000 et 270 000 signes, non ?

Écrit par : Erwan | 04/06/2011

Oui, tu as raison. J'ai mal compté, encore des séquelles de mes ennuis ORL (voir en dessous)

Écrit par : Patrick S. VAST | 04/06/2011

Les commentaires sont fermés.