Bide

Comme je suis (et j'ai toujours été) d'un naturel modeste et même très modeste, je ne vais pas faire état ici que de succès mais aussi de bides. Eh oui, modeste je vous dis. En un mot, je ne vais pas parler que de contrat signé, de roman ou de nouvelle publiés, mais aussi de bons refus. Il faut dire que je viens d'en recevoir un il y a dix minutes environ, concernant ma nouvelle rock'n'roll. Je n'ai pas saisi à 100% l'argumentaire, mais je m'incline comme toujours en pareil cas. Donc, pas bon pour le rock'n'roll. Pour quelqu'un qui en écoute (sous toutes ses formes) depuis 52 ans,  c'est un peu désorientant, mais je n'arrêterai pas d'en ouïr pour autant, bien au contraire. Comme je suis en pleine crise de modestie, j'avoue également que ma nouvelle steampunk a été évincée  il y a un ou deux mois. Voilà qui devait être dit. À part ça, j'attends toujours la publication de l'antho "Légendes africaines" avec mon texte "Saxo Bird" et espère que je serai élu à l'anthologie western... Voilà, que tout cela ne vous coupe pas l'appétit, du moins l'envie de lire mes romans qui ont, majoritairement jusqu'ici, été plutôt bien accueillis.  Modeste je suis, mais il y a quand même des limites. À bientôt...

Période transitoire

C'est bien ainsi que je peux qualifier cette fin août. Un roman en fignolage final, en attente de décision concernant deux nouvelles, et un nouveau roman sur la ligne de départ. Fin septembre, les salons et dédicaces recommencent. On peut profiter encore du soleil et de... la vie. Alain, dit "Johnny", est mort avant-hier, mardi. Je l'ai lu dans le journal ce midi. C'était le patron d'un bistrot devant lequel je passe chaque jour de la semaine, et ce, depuis six ans. On se saluait, il était toujours rigolard, souvent dans son pantalon en cuir, comme Gene, comme Vince. C'était un rocker qui donnait à manger aux chats. Il y en avait toujours devant son bistrot. Il est parti, il avait un an de moins que moi, seulement. Allez, bye et bon voyage, à "three steps to heaven" comme le chantait Cochran en 1960, alors qu'il était déjà parti après un crash de taxi aux portes de Londres...

Back to polar

Béthune rétro est terminé, je me prépare pour le 6ème salon du polar de Templemars (près de Lille), avec notamment :

 

 

Western Western

Ma nouvelle pour l'appel à textes western a été envoyée... wait and see et rendez-vous peut-être au printemps pour une uchronie westernienne. 

Fin de congés

Fin de congés payés aujourd'hui. Me suis-je offert des kilomètres de bouchons, suis-je allé me faire arnaquer par les restaurateurs du Sud de la France ou d'ailleurs, me suis-je risqué vers l'Égypte, la Lybie, la Syrie, la Tunisie même ??? Non, non et non. Je suis resté chez moi avec, dès le début, un bon virus (situation anormale en cette saison, paraît-il) qui s'est bien accaparé de la maisonnée et m'a laissé entre deux eaux durant mes trois semaines de récupération (mal récupérée de ce fait)... Durant ces même congés, j'ai dû admettre qu'il y avait très peu de chances que mon chat Lupin nous revienne. Pas vu, pas entendu depuis le 14 juillet... Ce n'est pas dans ses habitudes. Depuis 2009, il taille la zone dès que la belle saison s'annonce, mais revient régulièrement nous montrer qu'il est toujours en vie. Là, rien, nothing, nada, plus de Lupin...

J'ai quand même peaufiné à 90% le manus de mon polar herboriste et à 95% celui de ma nouvelle pour l'appel à textes "western". J'ai aussi un peu avancé le manus de ce qui sera peut-être en 2015 mon 6ème Polar en Nord.

Donc, les travaux, hormis pour le polar de 2015, touchent à leur fin et je me prépare d'abord pour Béthune rétro (le rendez-vous annuel des années 50 et du rock'n'roll/rockabilly), puis pour le salon du polar (le 28 septembre) de Templemars, qui marquera ma rentrée littéraire et le début d'une flopée de salons et de dédicaces en tout genre. En attendant, lisez mes polars, lisez mes fantastiques, lisez aussi mon historico-rétro-sentimental (point de discrimination SVP) et bonne rentrée pour ceux... qui rentrent...

News de début de semaine

Toujours pas de nouvelles de mon chat Lupin. Jadis, j'ai écrit "Chadoogie" lors de la disparition de mon chat Zen, devenu Ska dans la nouvelle. Je sais, les chats, ça va, ça vient. Mais, bon... Je peaufine en ce moment... ma nouvelle pour l'anthologie western, et mon polar herboriste qui, je l'espère, sera mon cinquième polar en Nord en 2014. Puis, je guette toujours le retour de Lupin, en commançant à désespérer. Sa sœur Noria est un peu triste... Histoires de chat, histoires de la vie et de ses aléas. Oui, les chats symbolisent bien notre existence alétoire, soumise à tous les imprévus. C'était la pensée du lundi... à bientôt...