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05/06/2017

London Blues

Dans les années 70 on prenait le Ferry pour l'Angleterre, destination Londres. Dans les rues colorées de la ville, on se baladait tranquille. Londres c'était la Mecque, la Lourdes, la Bénarès de la musique, que de la bonne religion. C'étaient les seventies, on étaient pacifiques, pacifistes, guère attirés par la chose militaire. Qu'écoutent donc les têtes molles de nos époques contemporaines ? Sans doute  les sirènes de ce démon que les Stones évoquaient en 69 à Hyde Park ? Allez savoir...

Que revienne le peace and love et cette fois, que les conformistes ne détruisent pas tout pour imposer leur monde débouchant sur la folie meurtrière, les souffrances et le sang. Leur vieux monde qui n'a engendré que les guerres, peut enfin disparaître et eux, enfin, s'effacer. Place au neuf, construisons l'avenir à partir du passé, celui qui savait s'affranchir des idéologies morbides, celui du summer of love, du flower power.

London blues, seventies blues, technocrates blues, business blues.

Et aucune sympathy for the devil, aucune sympahie pour les démons.

04/06/2017

Autre vue

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C'était la seconde moitié des anées 60, une autre vue du monde.

03/06/2017

Fire/Igneus

Qui dit Fire, dit feu, et dit forcément Igneus.

 

Association d'idées évidente...

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31/05/2017

Sweet sixties

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Vue d'un village typique du  début des années 60. Ça tombe bien car c'est justement dans ce village et à cette époque que se déroule le roman dans lequel je suis plongé depuis le début avril. L'écriture s'accélère pour parler de ce village qui réservera bien des surprises.

30/05/2017

Concurrence

Les politiques ont-il décidé d'avoir la peau des romanciers ? On pourrait le penser compte tenu des différents feuilletons, des véritables thrillers auxquels ils donnent droit depuis au moins le mois de janvier. C'est que les bougres ont le sens de l'intrigue, des rebondissements, du suspense en général. Sont-ils réellement aux manettes ou s'offrent-ils des ghost writers, (des nègres comme on dit si vilainement en français) ? À voir... En tout cas, il est certain que la concurrence existe, leur public grossissant à vue d'œil. On en vient (côté romanciers), à souhaiter la fin de ces interminables élections, afin que le lecteur lambda, qui en sera enfin revenu de la réalité, ait envie de replonger dans la fiction.

28/05/2017

Il y a des visionnages utiles

Hier j'ai fait force provision de DVD à ma médiathèque attitrée. Parmi ma pêche, se trouve le film  "Jean-Philippe", avec Fabrice Luchini et bien sûr Johnny Hallyday. Je n'avais jamais vu ce film. Au-delà de son concept tout à fait intéressant, il m'a permis de rectifier mon tir à propos du roman très  années 60 que je suis en train d'écrire. En effet, dans le film, Johnny Hallyday se trouve avoir pour rival un certain Chris Summer. Or, dans mon roman, l'un de mes personnages qui rêve de détrôner Hallyday, s'appelle, ou plutôt s'appelait, Pat Summer. Je pense que pour le patronyme "Summer", le scénariste du film a suivi la même démarche que moi. Hallyday ressemblant au mot anglais holidays signifiant vacances, et les vacances évoquant l'été, on en arrive à "summer". Mais bon, si chez moi le Summer se prénommait Pat et non pas Chris comme dans le film, j'ai rectifié le tir ce matin. J'ai conservé le Pat, mais pour le reste j'ai eu recours à une petite subtilité qui, ma foi, donne un résultat plus intéressant.

J'en suis à presque 261 000 signes, donc, à suivre...