Miaou

À la mi-août il y a de la joie pour les matous ! C'est ce qu'on dit... J'espère qu'il y en a pour mon Lupin, toujours aux abonnés absents, et cela depuis un mois...

La mi-août, c'est aussi le 15 août, et le 15 août 1969, débutait le grand festival de Woodstock. Il semblerait que par les temps qui courent, les idées d'alors seraient submergées par d'autres, celles des années 30, des idées bien basses du front. Internet oblige, les tenants de ces principes parviennent à faire suffisamment de bruit, laissant même croire que leur idéologie domine. Ce n'est  heureusement pas le cas, mais leur pouvoir de polluer est suffisant pour appeler à la vigilance. Et si même ils se font de plus en plus entendre, n'oublions pas que tout est cyclique sur cette basse terre, et que l'esprit de Woodstock reviendra très vite en force...

 

Oies... illons

Atypisme

À l'époque où les médias n'étaient qu'aux mains des télés, radios, journaux... on ne devait consommer que leurs élus, que ceux qui avaient été préalablement formatés par eux ou bien qui correspondaient à leurs critères. Les choses ont heureusement changé, nous sommes nos propres médias et l'on peut découvrir ou faire découvrir des personnages atypiques. Moustique est un de ceux-là. Rocker des années 60, chantant comme ça vient et vivant surtout sa passion que l'on partage ou non... à notre guise !

 

 

Paname

Une photo trouvée sur face de bouc. Le quartier des halles en 1955 : quand Paris était encore Paris et non pas Pognon City... 

News de début de semaine

Toujours pas de nouvelles de mon chat Lupin. Jadis, j'ai écrit "Chadoogie" lors de la disparition de mon chat Zen, devenu Ska dans la nouvelle. Je sais, les chats, ça va, ça vient. Mais, bon... Je peaufine en ce moment... ma nouvelle pour l'anthologie western, et mon polar herboriste qui, je l'espère, sera mon cinquième polar en Nord en 2014. Puis, je guette toujours le retour de Lupin, en commançant à désespérer. Sa sœur Noria est un peu triste... Histoires de chat, histoires de la vie et de ses aléas. Oui, les chats symbolisent bien notre existence alétoire, soumise à tous les imprévus. C'était la pensée du lundi... à bientôt...

Lulu