31/05/2017
Sweet sixties
Vue d'un village typique du début des années 60. Ça tombe bien car c'est justement dans ce village et à cette époque que se déroule le roman dans lequel je suis plongé depuis le début avril. L'écriture s'accélère pour parler de ce village qui réservera bien des surprises.
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30/05/2017
Concurrence
Les politiques ont-il décidé d'avoir la peau des romanciers ? On pourrait le penser compte tenu des différents feuilletons, des véritables thrillers auxquels ils donnent droit depuis au moins le mois de janvier. C'est que les bougres ont le sens de l'intrigue, des rebondissements, du suspense en général. Sont-ils réellement aux manettes ou s'offrent-ils des ghost writers, (des nègres comme on dit si vilainement en français) ? À voir... En tout cas, il est certain que la concurrence existe, leur public grossissant à vue d'œil. On en vient (côté romanciers), à souhaiter la fin de ces interminables élections, afin que le lecteur lambda, qui en sera enfin revenu de la réalité, ait envie de replonger dans la fiction.
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28/05/2017
Il y a des visionnages utiles
Hier j'ai fait force provision de DVD à ma médiathèque attitrée. Parmi ma pêche, se trouve le film "Jean-Philippe", avec Fabrice Luchini et bien sûr Johnny Hallyday. Je n'avais jamais vu ce film. Au-delà de son concept tout à fait intéressant, il m'a permis de rectifier mon tir à propos du roman très années 60 que je suis en train d'écrire. En effet, dans le film, Johnny Hallyday se trouve avoir pour rival un certain Chris Summer. Or, dans mon roman, l'un de mes personnages qui rêve de détrôner Hallyday, s'appelle, ou plutôt s'appelait, Pat Summer. Je pense que pour le patronyme "Summer", le scénariste du film a suivi la même démarche que moi. Hallyday ressemblant au mot anglais holidays signifiant vacances, et les vacances évoquant l'été, on en arrive à "summer". Mais bon, si chez moi le Summer se prénommait Pat et non pas Chris comme dans le film, j'ai rectifié le tir ce matin. J'ai conservé le Pat, mais pour le reste j'ai eu recours à une petite subtilité qui, ma foi, donne un résultat plus intéressant.
J'en suis à presque 261 000 signes, donc, à suivre...
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26/05/2017
Ami(e)s de ce blog
bonjour ! Pour reprendre le leitmotiv d'une célèbre émission radiophonique devenue maintenant intemporelle. Le soleil brille sur Septentrion et ça met de bonne humeur.
Le logo de mon futur label d'édition a pris forme. Bien sûr, je ne puis encore le dévoiler, mais il est évident qu'il s'agit d'un chat... Et pour cause, chat et polar font bon ménage.
Mais mon actualité pour l''instant, c'est un roman inscrit dans les années 60, au temps des "blousons noirs", ces bandes de jeunes qui jouaient "l'équipée sauvage" à leur manière.
Le roman a dépassé ses 250 000 signes, autant dire qu'il est en bonne voie...
Et pour l'illustrer, voici un morceau "Nous les blousons noirs", par un artiste que l'on ne voit pas beaucoup. Mais ce ne sera pas le premier à ne pas faire partie des enfants gâtés du système... On en compte déjà un paquet. Il en est d'ailleurs de même de beaucoup d'auteurs, de polars ou autres, renommé ne rimant pas forcément et toujours avec qualité.
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22/05/2017
Guinguette
17:40 Publié dans Actualité et divers | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
21/05/2017
La tête hors de l'eau
Comme je vous ai sollicité plusieurs fois pour le sauvetage des éditions Fleur Sauvage/Aconitum, j'ai le plaisir de vous annoncer que le premier palier de 16 000 € a été atteint hier. Cela n'est pas anodin, car il restait jusqu'à lundi minuit pour y arriver. Si ces 16 000 € n'avaient pas été atteints, tout était rendu aux contributeurs, la maison d'édition ne touchait rien et se dirigeait droit vers la liquidation judiciaire. Mille mercis à toutes celles et tous ceux qui ont participé, car, grâce à ce premier palier, l'éditeur va pouvoir maintenant enclencher sur des partenariats et autres, et ainsi sauver complètement sa société. Il y aura donc de nouvelles parutions, et mes 4 romans déjà dans le circuit ne finiront pas chez un soldeur à 1 ou 2 € l'exemplaire, ou pire au pilon, ce qui signifierait leur disparition pure et simple.
Encore merci, et que l'aventure continue !
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