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25/06/2020

Ça repart et au galop

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Ça y est, je reprends les dédicaces le 12 juillet, et au galop (sans jeu de mot), puisque ce sera aux Galopades littéraires (2ème édition), à Lumbres (62). Souhaitons et, je serais presque tenté de dire, prions, pour que ça redémarre pour de bon, et que les sombres prédictions de la cohorte de morbido-apocalyptiques prophétisant avec une jouissance non dissimulée une seconde vague de Covid et pourquoi pas l'extinction de l'espèce humaine, ne se réaliseront pas. Les auteurs écrivent pour rencontrer leurs lecteurs. La littérature est vivante et ne peut se confiner dans les librairies comme jadis. J'ai lu, il y a bien longtemps, un roman trouvé par hasard dans une bibliothèque, qui s'appelait "Je sors". Eh bien oui, je sors. Tois mois et demi d'annulations de salons, de dédicaces, ça suffit !

Je serai aux galopades avec Odile Guilheméry et son roman "Portraits croisés", qui ne demande lui aussi qu'à sortir.

À bientôt !

Duck Walk

Grosse chaleur à Béthune City depuis 2 jours, mais ça semble glisser comme sur les plumes d'un canard...

22/06/2020

Retour au Café des Mariniers

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patricksvast.hautetfort.com/archive/2020/06/19/le-cafe-des-mariniers-6246946.html

Des ascenseurs

Alors que la semaine dernière je mettais en ligne ma chanson "Week-end dans l'ascenseur" composée depuis peu, ce lundi soir ARTE programme "Ascenseur pour l'échafaud".

Rappel du Week-end dans l'ascenseur :

http://patricksvast.hautetfort.com/archive/2020/06/15/week-end-dans-l-ascenseur-6246073.html

 

"Ascenseur pour l'échafaud", un bon polar avec comme trame sonore, la trompette de Miles Davis qui délivre un jazz au plus près de ses racines.

 

S'il s'agit d'un excellent film de Louis Malle, il ne faut surtout pas oublier qu'il est tiré d'un roman de Noël Calef. Un bon auteur de polar hélas oublié en ces temps de cohortes d'auteurs de thrillers commerciaux qui pullulent un peu partout. Noël Calef, c'est le bon et honnête artisan du polar. Pas d'esbroufe, pas d'outrance, pas de sempiternelles histoires de tueurs en série. Non, Calef, c'est la mesure, l'originalité, l'efficacité, et j'oserais dire, l'élégance dans la manière de mener les intrigues.

Pour le découvrir ou le redécouvrir, voir ci-dessous encore :

https://fr.wikipedia.org/wiki/No%C3%ABl_Calef

Et maintenant, extrait de film :

 

 

 

21/06/2020

Sous la verrière

Comme je l'ai souvent dit, j'ai vécu plus de dix ans à Toulouse. J'avais l'habitude de me rendre dans une brasserie située à la place Esquirol (nommée dans le texte de la chanson". Je me plaçais sous la verrière, chauffée en hiver, climatisée en été. Un crème à la mauvaise saison, une glace à la belle, et je demeurais contemplatif, contemplateur. Le spectacle de la place me suffisait et constituait des instants magiques.

Je ne pouvais qu'écrire une chanson sur cet endroit, dédiée bien sûr à la verrière en question.

L'ombre des châteaux

Au cours de l'automne-hiver-printemps 1977/1978, j'ai séjourné à Avignon. La ville pouvait être fière de posséder un cinéma Utopia qui proposait des films d'une rare qualité. Parmi eux, figurait en bonne place "L'ombre des châteaux", un film qui, d'après le fascicule rédigé par Utopia, avait fait environ une petite dizaine d'entrées à Paris à sa sortie. Je me suis toujours étonné de voir moult personnes faire la queue pour obtenir leur content de daube garantie, et snober, dédaigner, je dirais presque, humilier des petits bijoux. Mais il en va ainsi en de nombreux domaines. Évidemment, ce film a connu une carrière très courte, pour na pas dire inexistante et, d'après ce que j'ai pu lire, il en été retrouvé une copie quasiment par miracle. Eh oui, ça existe les miracles. La preuve, 43 ans après sa "discrète" carrière, "L'ombre des châteaux" est désormais disponible en DVD. Il existe des moments où l'on ne peut que louer le progrès. Alors, je ne puis que vous inciter fortement à découvrir ou, qui sait, à redécouvrir ce long métrage.

Un petit extrait (ci-dessous) pour avoir une idée de ce qui aurait dû, et doit encore, passer à la postérité en tant que grand film.