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21/04/2020

Les Chat Moiré numéro 5 est arrivé !

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" Portraits croisés » d'Odile Guilheméry est arrivé de chez l’imprimeur et sera officiellement publié le 2 mai au lieu du 2 avril comme initialement prévu. Le Chat Moiré éditions réalise le plus gros de ses ventes lors de salons du livre ou de dédicaces en librairie. Or, tout cela est à l’arrêt du fait de l’épidémie qui sévit et nous ne savons pas quand nous pourrons retrouver une situation normale.
De ce fait, dans l’immédiat, pour nous aider et nous soutenir, le mieux est de commander nos livres. Pour cela il suffit de vous rendre à la rubrique « Publications/achat. Et bien sûr vous pouvez précommander « Portraits croisés’ d’Odile Guilheméry dès à présent en cliquant sur ce lien :

prc3a9commandenuits-4.pdf


Merci pour votre aide et votre soutien !

 

22/03/2020

Classics

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Vous confinez ? Alors confinez en écoutant la story des grands du polars. Des auteurs classiques, intemporels qu'il ne faut en aucun cas oublier.

Une trentaine de numéros de la Crème du crime vous est proposée avec ce lien :

https://www.youtube.com/playlist?list=PLZuSMcystRytNbpccrjGz8anUAcYN3EN7&fbclid=IwAR1bCJEWxwRiZaM9Rd7dckQD41v9a1veyzqHQsaBA_Bp5aeHovXo7TFA01w 

18/03/2020

Publication "Portraits croisés"

Dans le précédent post, je disais que "Portraits croisés" d'Odile Guilheméry sortirait envers et contre tout le 2 avril. Seulement, c'était sans compter avec l'arrêt de l'activité de l'imprimeur, de l'arrêt temporaire du dépôt légal, etc...

Alors bien qu'il soit tout ce qu'il y a de plus prêt, nous ne savons pas à ce jour quand sortira le roman.

Attendre et voir...

14/03/2020

Actualitré

Salons du livre annulés, dédicaces annulées, tant de choses annulées.

Dans mon roman "Duo fatal", il est question d'un dentiste qui "retient" son assistante  dans un abri antiatomique.

 

Sans doute une bonne solution par les temps qui courent...

En tout cas, je vous recommande un autre polar, celui d'Odile Guilheméry, "Portraits croisés", que le  Chat Moiré éditions publiera envers et contre tout et comme prévu le 2 avril prochain.

 

Et dès à présent, ayez un geste, j'allais dire (civique)...  solidaire, en le précommandant !

https://lechatmoireeditions.wordpress.com/2020/03/03/precommandes-portraits-croises/

 

 

25/02/2020

Crème du jour... toujours

Toujours prêt à défendre la mémoire des grands anciens :

 

05/02/2020

Actuel

Hier après-midi, profitant de temps libre, je me rends à la médiathèque de ma ville. J'avais amené de quoi lire, à savoir un bon vieux William Irish que j'avais glissé dans ma poche. Je m'installe dans un confortable fauteuil mis à disposition dans l'espace lecture de magazines et journaux et je me plonge dans le roman. Un peu plus tard, je relève la tête, et j'aperçois sur ma droite, calées sur un canapé, trois lycéennes qui n'avaient aucun livre, aucun journal, aucune revue, mais qui tenaient précieusement dans leur main droite, l'éternel et incontournable smartphone, tel un appendice qu'on leur aurait greffé à la main, ou qui, durant la période prénatale, se serait développé en même temps que leur fœtus. De temps en temps, l'une d'elles montrait aux autres ce qui se passait (sans doute d'une extrême importance) sur son écran, le tout dans le silence total, en ponctuant simplement son action de sourires complices et entendus. Je me lève au bout d'un moment, je déambule dans la médiathèque et je découvre des tables avec d'autres jeunes s'adonnant aux mêmes activités que les lycéennes. Là encore, exit les livres, seul compte le smartphone. 

En voyant cela, on comprend mieux les attitudes de plus en plus majoritaires dans les salons du livre, surtout ceux qualifiés de généralistes, où l'on observe des gens qui déambulent dans les allées sans même jeter un coup d'œil aux nombreux livres qui sont exposés. À noter que beaucoup d'entre eux tiennent bien entendu leur smartphone à la main, quand ils ne s'adonnent pas carrément à de longues conversations téléphoniques, bien éloignées de l'univers du salon du livre  pour lequel ils sont censés être venus.

On a connu dans les temps les plus sombres de l'Histoire, ce que l'on a appelé des autodafés où l'on brûlait des livres. Plus besoin de cela de nos jours, le smartphone s'en charge, sans feu ni fumée.