Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04/08/2020

En complément

de mon post d'hier :

music.png

Merci au ou à la photographe. Tout à fait d'accord ! 

 

 

 

05/07/2020

Templemars polar 2020

L'affiche !

templemars.jpg

25/06/2020

Duck Walk

Grosse chaleur à Béthune City depuis 2 jours, mais ça semble glisser comme sur les plumes d'un canard...

22/06/2020

Retour au Café des Mariniers

P1010001.JPG

P1010003.JPG

patricksvast.hautetfort.com/archive/2020/06/19/le-cafe-des-mariniers-6246946.html

Des ascenseurs

Alors que la semaine dernière je mettais en ligne ma chanson "Week-end dans l'ascenseur" composée depuis peu, ce lundi soir ARTE programme "Ascenseur pour l'échafaud".

Rappel du Week-end dans l'ascenseur :

http://patricksvast.hautetfort.com/archive/2020/06/15/week-end-dans-l-ascenseur-6246073.html

 

"Ascenseur pour l'échafaud", un bon polar avec comme trame sonore, la trompette de Miles Davis qui délivre un jazz au plus près de ses racines.

 

S'il s'agit d'un excellent film de Louis Malle, il ne faut surtout pas oublier qu'il est tiré d'un roman de Noël Calef. Un bon auteur de polar hélas oublié en ces temps de cohortes d'auteurs de thrillers commerciaux qui pullulent un peu partout. Noël Calef, c'est le bon et honnête artisan du polar. Pas d'esbroufe, pas d'outrance, pas de sempiternelles histoires de tueurs en série. Non, Calef, c'est la mesure, l'originalité, l'efficacité, et j'oserais dire, l'élégance dans la manière de mener les intrigues.

Pour le découvrir ou le redécouvrir, voir ci-dessous encore :

https://fr.wikipedia.org/wiki/No%C3%ABl_Calef

Et maintenant, extrait de film :

 

 

 

21/06/2020

L'ombre des châteaux

Au cours de l'automne-hiver-printemps 1977/1978, j'ai séjourné à Avignon. La ville pouvait être fière de posséder un cinéma Utopia qui proposait des films d'une rare qualité. Parmi eux, figurait en bonne place "L'ombre des châteaux", un film qui, d'après le fascicule rédigé par Utopia, avait fait environ une petite dizaine d'entrées à Paris à sa sortie. Je me suis toujours étonné de voir moult personnes faire la queue pour obtenir leur content de daube garantie, et snober, dédaigner, je dirais presque, humilier des petits bijoux. Mais il en va ainsi en de nombreux domaines. Évidemment, ce film a connu une carrière très courte, pour na pas dire inexistante et, d'après ce que j'ai pu lire, il en été retrouvé une copie quasiment par miracle. Eh oui, ça existe les miracles. La preuve, 43 ans après sa "discrète" carrière, "L'ombre des châteaux" est désormais disponible en DVD. Il existe des moments où l'on ne peut que louer le progrès. Alors, je ne puis que vous inciter fortement à découvrir ou, qui sait, à redécouvrir ce long métrage.

Un petit extrait (ci-dessous) pour avoir une idée de ce qui aurait dû, et doit encore, passer à la postérité en tant que grand film.