Ambiance

 

 

 

 

 

Joe Bonamassa - Drive

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Posté par Joe Bonamassa sur samedi 20 février 2016

"Zazou" de Jean Mazarin, un roman swing !

Il existe  beaucoup de raisons pour lesquelles ce roman ne pouvait pas m'échapper. J'ai toujours été passionné par le mouvement "zazou", un mouvement avant tout contestataire, s'opposant à l'occupant nazi et ses complices, tous les affidés du régime vichyste, les fanas du Maréchal et de sa révolution nationale qui n'avait rien de révolutionnaire, mais  tout de dégueulasse.

Autre point, les Zazous aimaient et écoutaient du swing, dérivé du jazz, un bon antidote aux marches prussiennes, aux chants martiaux casse-bonbons. Ce swing s'encanaillait avec la chanson populaire française, pour commettre des perles, à découvrir encore de nos jours.

Puis, le roman est écrit par Jean Mazarin, un polareux né en 1934, soit 8 ans après mon maître Georges J. Arnaud, un vieux de la vieille (au sens noble du terme, of course), qui produit une littérature qui me convient parfaitement, de celle que j'affectionne même tout particulièrement.

 

Alors, nous sommes en 1942, Paul, jeune Zazou, fils d'un flic collabo jusqu'au trognon, va tomber amoureux d'une jeune résistante juive, Anna Tronska. Bon, il est vrai que celle-ci est surtout poussée par son réseau dans les bras du Zazou pour en apprendre un maximum sur son horrible paternel. Mais voilà que le Zazou finira par épouser la cause de la résistance, jusqu'à faire le coup de feu, se débarrasser de ses frusques "swing" et écouter Django Reinardt qui ne l'était pas moins, mais appartenait à un peuple (Gitans, Tsiganes...) qui fut maltraité comme les Juifs par les tenants de l'Ordre Nouveau version années 40, avec la complicité active de la police de l'hexagone. Voir à ce sujet la rafle du Vel' d'hiv.

Évidemment, la saga de Paul et d'Anna, ce n'est pas vraiment de la bluette, mais du noir de chez noir.

Mazarin connaît son sujet, il vous décrit le monde des Zazous au cordeau, la résistance, le colonialisme nazi également, et vous plonge dans une ambiance unique et authentique, faisant les délices du roman.

Au détour des pages, on y croise Raymond Queneau, Boris Vian, Sartre... mais aussi Bousquet, préfet collabo zélé de sinistre mémoire.

Dans ce roman, on rencontre en effet de braves types, des héros, tout comme des salauds et des abjects.

Il y a de l'Histoire, de l'action, de la musique...

Et cerise sur la gâteau, ce récit se déroulant en juillet 1942, est carrément écrit au présent, histoire de bien booster l'intrigue.

Pas d'hésitation, lisez-moi ça au plus vite.

Je me permettrais un aparté au cas où vous ne seriez pas encore convaincus. Pour moi, ce roman a fait office de thérapie, car je l'ai lu d'une traite, alors que ces derniers temps, il y en  a une paire qui me sont tombés des mains à peine passée   la trentième page. C'est tout dire !

 

Zazou

 

Un roman de Jean Mazarin, auteur tout à fait recommandable

 

275 pages

 

17 euros, ça les vaut largement

 

C'est édité par l'Atelier Mosésu

 

Collection 39/45 créée par Gilles Guillon et dirigée par Sébastien Mousse

 

ISBN 979 - 10 - 92100 - 38 - 9

 

À vous procurer partout où vous le pouvez

 

et pourquoi pas sur le site de l'éditeur :

 

http://www.atelier-mosesu.com/boutique/zazou/

 

Et quand on parle du swing, on voit Johnny Hess :

 

 

 

 

 

Anniversaire

 

 

9 ans aujourd'hui

 

Joyeux anniversaire

 

le Blog !

"Insoumis" le 29 avril

C'est officiel maintenant, mon roman "Insoumis" aura sa sortie nationale le 29 avril prochain aux éditions Aconitum, avec toutefois une présence en avant-première au salon du polar "Les mines noires" à Nœux-les-Mines (62), le 24 avril. Cela avait d'ailleurs été le cas pour "Requiescant" en 2015.

Deux mots simplement sur "Insoumis", il s'agit d'un roman noir sur fond de guerre d'Algérie.

 

La suite, un peu plus tard...

Il était un corbeau

J’ai choisi mon bon vieux blog de bientôt 9 ans d’âge, pour m’entretenir d’un sujet passionnant : le corbeau.
« Le corbeau », titre d’un célèbre film de Clousot, est un terme générique pour désigner un être malfaisant qui, sous couvert d’anonymat, comme par exemple en se planquant courageusement derrière un ou plusieurs pseudos, laisse couler son fiel, épanche sa rancœur ou je ne sais quel autre sentiment.
Or, il se trouve que depuis la fin novembre, je suis victime d’un corbeau qui s’en prend à mes deux derniers romans « Requiescant » et « Igneus ». Je n’avais jamais jusque-là eu à souffrir de ce désagrément, mais je sais qu’à une époque, plusieurs de mes collègues auteurs avaient eu à en pâtir.
Mon corbeau sévit sous différents pseudonymes, mais compte tenu qu’il emploie toujours les mêmes arguments, ne variant que très peu d’un site à l’autre, cela me permet aisément d’en déduire qu’il ne s’agit que d’une même et seule personne, ou tout du moins d’un couple, ce qui lui permet de multiplier les adresses mails et de pouvoir attaquer plus largement.
Vous pouvez le trouver sur Fnac.com, Furet.com, Decitre.com, Libfly. Ce sont les sites que j’ai localisés pour l’instant, mais il y en a sans doute d’autres.
Je ne refuse pas la critique, mais alors celle qui analyse le fond, la forme, le tout avec détails et arguments, et non pas une série de généralités standard et répétitives, qui laissent au final penser que celui qui critique n’a jamais lu les romans.
Le corbeau peut prospérer sur le web, surtout sur les sites où n’importe qui peut s’exprimer pour valoriser comme pour démolir. Personne ne peut l’arrêter, du moins dans un premier temps, et s’il est vrai que le papier ne refuse jamais d’encre, le web ne refuse jamais le fiel s’il en est pour le laisser couler.
J’ai bien sûr une idée de l’identité de mon corbeau et, je pourrais mettre en marche les procédures qui sont quand même prévues en pareil cas pour en être certain. Mais, je ne suis en aucun cas procédurier, et je n’ai pas envie de me perdre dans des actions sans doute un peu trop longues à mon goût et très certainement fastidieuses.
Puis, croyant plutôt aux êtres positifs dont font bien sûr partie les lecteurs sympathiques et honnêtes, c’est à eux que je m’adresse.
Si vous avez sincèrement aimé l’un de mes deux derniers ouvrages (« Requiescant » et/ou « Igneus »), n’hésitez pas à vous rendre sur les sites cités et à vous exprimer.
Quant à ceux qui voudraient émettre un avis négatif, eh bien, qu’ils le fassent au moins de façon constructive, et non pas uniquement dans la minable intention de nuire, de blesser, de saboter aussi gratuitement que bêtement.

Enfin, je ne puis résister à l'envie de mettre en ligne les critiques de chroniqueurs avisés dont l'intégrité et l'éclectisme ne sont plus à prouver, et que le corbeau en prenne de la graine, car il en a bien besoin  !

http://unpolar.hautetfort.com/tag/requiescant

 

http://dubruitdanslesoreilles-delapoussieredanslesyeux.overblog.com/2015/02/requiescant-de-patrick-s-vast.html

 

http://www.rayonpolar.com/Polars/Polars_texte.php?table=s&nom=s.%20vast&prenom=patrick&titre=Requiescant

 

http://www.whoozone.com/actualites/article-3681-201512023681-requiescant-un-livre-de-patrick-s-vast.html

 

http://unpolar.hautetfort.com/tag/igneus

 

http://www.rayonpolar.com/Polars/Polars_texte.php?table=v&nom=VAS&prenom=Patrick+s.&titre=Igneus

 

http://leshootdeloley.blogspot.fr/2016/01/igneus-de-patri...

À bientôt ami(e)s de ce blog !

Ecce Aconitum

Voici Aconitum ! : filiale, petite sœur de Fleur sauvage, de toute façon une aconitum est une fleur sauvage et une préparation homéopathique pour combattre l'anxiété, les états de panique... Bon, en tout cas chez Aconitum on parlera d'un tas de choses, on abordera un tas de genres. Je dis "on", puisque mon prochain roman, "Insoumis", qui est noir de chez noir, sortira chez cet éditeur. À la direction générale, on trouve David Lecomte comme chez Fleur Sauvage, et à la direction éditoriale, Gaylord Kemp, un lecteur compulsif autant que très avisé.

D'ailleurs, je lui laisse la parole :

 

"C’est avec un immense honneur que je vous annonce l'émergence des éditions Aconitum dirigées par David Lecomte et dont je deviens le responsable éditorial.
Nous vous proposerons du thriller/polar, du roman noir, du fantastique/épouvante, de la littérature générale, érotique…
Une nouvelle Fleur Sauvage vient d’éclore. Si la prise d’Aconitum Napellus est recommandée en cas d’angoisse ou d’agitation, elle n’en est pas moins très toxique.
Vous voilà prévenus!"

 

Je terminerai en disant que si vous avez aimé mes polars psychologiques chez Ravet-Anceau, mes romans fantastiques chez le Riez et Airvey éditions, mon polar historique 14/18 chez Pôle Nord Éditions, mes 2 thrillers aux éditions Fleur Sauvage, et pourquoi pas (éclectisme oblige), mon roman historico-rétro-sentimental encore chez ravet-Anceau, eh bien, vous aimerez mon roman noir "Insoumis" chez Aconitum éditions.

 

À bientôt !