2015

Déjà ! La vie n'est qu'un tour de piste qui s'accélère au fur et à mesure du temps.

 

Bonne et heureuse année à celles et ceux qui, sur ce blog existant depuis février 2007, passent régulièrement, occasionnellement, s'arrêtent, s'attardent, reviennent...

The voice passed away

C'était à l'automne 1968. Joe Cocker venait de transcender "With a little help from my friend", faisant  presque passer l'interprétation des Beatles au rang de chansonnette. Puis il y a eu Woodstock... et bien d'autres choses encore... Joe est mort, sa carrière continue... 

Lulu the stray cat

C'est l'histoire d'un chat (dont j'ai déjà parlé), qui s'appelle lupin, et qui disparaît de temps à autres. L'hiver dernier ayant été particulièrement doux, on est restés pratiquement un an sans le voir, ou de loin, ou plus du tout (de juin à début décembre). Et voilà que dimanche soir, Lulu is back. Pour combien de temps ? À quand la nouvelle disparition ?

Les croquettes sont bonnes at home, il me semble.

Musique d'ambiance pour accompagner la note :

Les 6 de 14/18

En attendant, peut-être d'autres romans, voici en tout cas les six initialement prévus, disponibles  là où l'on peut trouver de bons livres (tous supports acceptés) ou chez l'éditeur :

http://www.polenordeditions.fr/

ou encore chez Sobook Diffusion :

 

http://www.sobook.fr/index.php

 

[e-mail];

 

 

 

Les manifestations diaboliques

Il fut un temps, vers 2006/2007, où j'écrivais des chroniques pour l'excellent webzine Phénix Mag de Marc Bailly. J'avais d'ailleurs inauguré une rubrique intitulée "les thèmes de l'imaginaire". Marc a eu l'idée de remettre en ligne certaines chroniques dont celle consacrée aux manifestations diaboliques. Je dois avouer que j'ai relu cette chronique avec plaisir et je la partage avec vous :

http://www.phenixweb.net/Les-manifestations-diaboliques

 

Eole

Hier, petite expédition à Berck-sur-Mer, ma plage natale. Ça coïncidait avec les 6 heures de Berck, une course de chars à voile que j'ai toujours connue.

Hélas, le dieu Éole n'était pas da la partie. Alors, pas de vent, pas de course. Les chars ont été rangés vers 15 h. Ça continue aujourd'hui, espérons que...

Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est le public assez restreint pour une compétition d'envergure, alors que deux semaines plus tôt , ils étaient débarqués par millier  pour assister au Beach Cross, une compétition consistant à faire cabrioler sur la plage, quads et motos dans une pétarade infernale, afin de dégueulasser au maximum le sable fin.

Eh oui, la compétition de chars à voile présente de bien grands défauts au vu des critères de notre époque : elle respecte l'environnement, elle est en harmonie avec l'écologie maritime et ne dégueulasse pas le sable fin.

L'année dernière, Dame Nature s'était révoltée, amenant tempête et pluie diluvienne obligeant les organisateurs à arrêter le Beach Cross. Bravo à dame Nature ! Mais hier, pour les chars à voile, elle aurait quand même pu réveiller ce gros paresseux d'Éole. Enfin, comme dit plus haut, il lui reste aujourd'hui...