La jeune femme du compartiment

La jeune femme en question, ce n'est pas Estelle dont je vous ai parlé hier, puisque l'action de cette nouvelle se passe dans un train en 1942.

Pour une fois, je me suis écarté du PSF ( Polar/Science-Fiction/Fantastique ).

Un petite incursion dans d'autres domaines n'est pas désagréable.

Au départ, j'ai écrit cette nouvelle pour un concours dont le thème était " Le hasard ".

Bon, inutile de le cacher, je n'ai pas gagné. Mais comme disait un certain baron....

En tout cas, j'aime ce texte. J'ai choisi cette période de la Seconde guerre mondiale, car pour moi, elle était très propice aux coups du destin, du hasard, son cousin germain. Tout pouvait devenir possible grâce à des concours de circonstances. Hélas, ça ne marchait pas toujours comme on le sait, mais pour cette nouvelle, j'ai remis mon personnage principal entre les mains du bon sort.

Bon, il ne faut pas que j'en dise de trop quand même ! Alors lisez en cliquant sur :

compart.5.pdf

Thana

La mort, on peut la représenter de diverses façons. En 1950, dans son film " Orphée ", Jean Cocteau l'avait représentée sous les traits de Maria Casarès, dame en noir, à bord d'une automobile de couleur noire, escortée par deux motard : les anges de la mort. Concept subtil et esthétique.

J'ai conçu le texte " Thana ", diminutif de Thanatos comme il se doit, tel un road-movie, une sorte de petit film d'aventure. Rien ne manque, et surtout pas le décor dans le style " Le bon, la brute et le truand ", auquel on pourrait ajouter l'harmonica lancinant de " Il était une fois dans l'Ouest ". La mort est mise en scène dans une ambiance de western " spaghetti ". C'est finalement un sacré western de se frotter à elle.

À vous de juger en allant rejoindre la mystérieuse Thana, fille qui passe de la tenue de Gitane à celle de baroudeuse, pour finir en un lieu où on ne l'attendait pas.

C'est tout de suite en cliquant sur :

THANA.2.pdf

 

Harcèlement mortel

En 2002, une loi a tenté de s'opposer à un phénomène qui commençait à se répandre : le harcèlement moral au travail.

La finalité est aussi simple que cynique : se débarrasser d'un collaborateur, d'un salarié sans que cela ne coûte trop cher, et même rien si possible. Alors on met la pression, on fait tout pour qu'il craque et démissionne. Une démission ne coûte justement pratiquement rien, contrairement à un licenciement générateur d'indemnités.

Cela peut se pratiquer aussi bien dans les grandes sociétés que dans les petites entreprises. Il n'y a pas vraiment de règles en la matière.

Et si j'ai illustré cette note avec une tête de mort des plus sinistres, c'est parce que malheureusement, dans ce genre d'affaires, il n'est pas rare que ça se termine par un suicide.

Dans cette nouvelle polar, je n'ai rien exagéré, au contraire.

Le polar à caractère social, ce n'est pas une nouveauté, et ça se prête très bien au harcèlement moral.

Alors lisez " Harcèlement " et faites part de vos impressions.

HARCEL.pdf

Retour à " Bourbon Street "

Voici un premier texte en ligne, qui a eu celui-ci, l'honneur d'être publié dans le n°20 de la revue Hauteurs, la revue du Nord et d'ailleurs.

Un remaniement du site de la revue ne me permet pas malheureusement  de mettre la couverture ( superbe ) en ligne, mais j'espère pouvoir le faire très prochainement.

En tout cas, " Retour à " Bourbon Street " " s'adresse aux amateurs de fantastique, mais également de blues : d'où la pochette de Robert Johnson, grand bluesman devant l'Éternel.

Alors, vous cliquez sur le lien juste en dessous, et vous avez le texte en PDF.

Bonne lecture.

BOURBON.pdf

Le veuf/Section Polar

Bon, c'est sûr, ce n'est pas très gai. En plus avec un corbillard comme illustration. Mais que voulez-vous, c'est une histoire de veuf. Cette histoire, je l'avais dans la tête depuis pas mal d'années. J'avais même envisagé d'en faire un roman. Mais l'entreprise était hasardeuse. Un roman, c'était trop long, une nouvelle, c'était le calibre parfait. Je voulais donc écrire une histoire de veuf, mais d'un veuf assez particulier. Un veuf qui ne semble pas vraiment l'être. Je ne sais pas si vous me suivez. Et pour ne rien arranger, je vais conclure en disant : il n'y a rien de plus veuf, qu'un veuf qui veut absolument l'être. Ça vous éclaire peut-être un peu. Non ?

Alors, allons droit au but, et lisez ma nouvelle qui s'appelle tout simplement : Le veuf,

en cliquant sur :

 http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre7633.html

 

Bonne lecture et bon amusement.

Amateurs d'humour noir, ne pas s'abstenir !

See you later !

Entrée en matière

Bonjour, ce sont mes premiers pas sur ce blog. Alors, quoi dire ? Allons au plus simple. Je suis un auteur qui est tombé tout petit dans ce que l'on appelle les littératures de l'imaginaire. Et je n'en suis pas revenu. Alors, pas étonnant que j'oeuvre dans ce que j'appelle le PSF. Rien à voir avec la politique. PSF signifie tout bonnement : Polar/Science-Fiction/Fantastique.

J'aime l'aspect d'une bonne vieille Underwood. Pas de publicité gratuite, ce type d'engin totalement mythique est au moins tombé dans le Domaine public maintenant. On imagine très bien William Irish, ou Asimov, ou H.P. Lovecraft tapant leurs manuscrits sur ce type de merveille. Bon, moi j'utilise banalement l'ordinateur. Mais peut-être qu'un jour j'écrirai au moins une nouvelle sur une Underwood, rien que pour essayer.

 

Bonne soirée.

le 04/02/2007   PSV