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26/03/2017

Ambiance fluviale

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Photo Régine Vast

19/03/2017

Mort d'un pionniers

RIP Chuck Berrry

 

18/03/2017

Swinging Boulogne ?

En 2011 j'ai écrit un roman qui portait ce titre, et où ils était question de jeunes qui, dans l'après mai 68, montaient un groupe de rock à Boulogne-sur-Mer, ville proche des côtes anglaises.

Après moult péripéties, le roman est toujours dans mes tiroirs.

Une nouvelle piste s'offre peut-être à lui, suffisamment pour que je le toilette un peu avant soumission.

 

Et dans l'envolée, m'est venue l'ide d'un roman se déroulant lui, dans la première moitié des années 60, dans un village où j'ai vécu de 1958 à 1964.

 

En attendant tout cela, un peu de musique appropriée :

17/03/2017

Les valeurs sûres

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Comme je le dis souvent, je goûte peu les thrillers et autres polars qu'il faut aimer de nos jours pour être dans le coup. Mais pire, je suis atterré de constater combien sont oubliés ou presque, des auteurs de grande valeur. À ce sujet, je m'adonne à une petite rubrique sur Facebook où j'exhume de bons vieux Louis C. Thomas, Georges J. Arnaud, William Irish...

Un de mes confrères va agir de même et, en ce qui me concerne, après les romans je passerai aux films.

Je vous présente ce jour la couverture d'un bon polar des années 1970 de Frédéric H. Fajardie. "Bleu de méthylène", une bonne intrigue pour un polar que j'avais découvert dans une bibliothèque de Toulouse il y a bien longtemps, dans sa version "Sueurs Froides" de chez Denoël.

Frédéric H. Fajardie, un des apôtres du néo-polar des années 1970 nous a quittés, bien trop tôt, il y a pas mal de temps déjà. C'était un auteur prolifique, et je me demande quelle serait sa place aujourd'hui parmi les pavés de 600 pages, lui qui aimait écrire court, et surtout le gore, l'outrancier, qui dominent dans la production à la mode.

14/03/2017

Panne

Pas d'inspiration, mais disons panne physique, corporelle. La hernie inguinale que je me promenais depuis plus de dix ans a cessé de se montrer discrète. Résultat, le mercredi 22 prochain à l'aube, ce sera chirurgie blues.

Bon, un mauvais moment à passer ou peut-être pas, on verra.

En tout cas, un hosto blues vaut bien un "St. James infirmary".

05/03/2017

Vous avez dit fiction ?

Je me souviens qu'il y a quelque temps, un écrivain de polars avait  raconté qu'il avait vu la publication d'un de ses romans bloquée pour cause de première guerre du Golfe (1991). Les gens ne lisaient plus, ils restaient pendus à leur poste de TV pour voir quoi ? Rien ! Pas d'images transmises depuis l'Irak, mais des plateaux TV à Paris où des généraux à la retraite et des personnages en vue et incontournables de l'époque, venaient donner leur avis, leur point de vue. Ils supputaient,  prévoyaient, avaient l'intuition que... En un mot, on avait droit à du bla-bla, du vent, du vide sidéral, mais suffisamment aliénant pour que moult personnes en oublient de lire et fassent chuter la vente des romans et la publication de certains.

Avec ce qui se passe actuellement, il en va tout autrement, puisque chaque jour ou presque, apporte son nouvel épisode, son rebondissement, en prenant soin d'assurer un suspense garanti.

On se croirait ainsi revenu au temps des feuilletonistes qui, au XIXème ou au début du XXème siècle, écrivaient un nouvel épisode de leur œuvre dans les journaux en vogue. Certains, paraît-il, improvisaient totalement, et ne savaient pas la veille ce qu'ils allaient raconter le lendemain.

Les romans vont-ils être à nouveau délaissés comme en 1991 ?

Depuis cette époque, sont apparus Internet, les réseaux dits sociaux, et chacun a maintenant la tête farcie d'infos, vraies ou fausses, vérifiées ou non. Aussi, je pense qu'afin de se reposer de la réalité, il va s'avérer salutaire de se tourner de toute urgence vers la fiction, afin de ne pas être dépassé.