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22/05/2020

Le chanteur de rue

Le chanteur de rue, c'est ce monsieur qui, arrivée des rues piétonnes oblige, se postait avec sa guitare et chantait tout son répertoire. Cela se fait bien sûr encore, mais l'apogée des chanteurs de rue fut sans aucun doute les années 1970. Le chanteur de rue, un artiste hors système, à l'opposé du show biz, enfin, quelqu'un qui ne peut que me plaire.

Un cadre bucolique pour enregistrer la vidéo… c'est qu'on l'espère cet été ; il arrive doucement mais sûrement ; et en plus on l'espère pourfendeur de virus, damned!

19/05/2020

Le Tortillard

Jusqu'en 1955, ma ville natale de Berck-sur-Mar était desservie par un drôle de petit train qui s'appelait Le Tortillard. Il passait dans les bois, entre les marécages, sur un petit pont enjambant une rivière. Un véritable parcours plein de rebondissements, l'aventure du quotidien. Je me devais de rendre hommage au Tortillard, de lui consacrer une chanson dans un style country-folk, bien évidemment...

 

18/05/2020

Spleen et blues

Lié le blues à un concept baudelérien était tentant. J'ai toujours été attiré par le blues, je suis tombé dedans très jeune. Je l'ai été tout autant par les fleurs du mal et le spleen… Alors écrire une chanson qui s'appellerait "Spleen et Blues", tombait sous le sens. Et la voilà. Paroles simples comme le blues, et impro à l'harmonica...

 

 

09/05/2020

Quand le soir tombait sur la route

En ces temps de confinement, une chanson de route pour un bol d'oxygène. La route, les routards, les trimardeurs, les voyageurs. Un mythe  éternel, une réalité souvent salvatrice. Le temps des hobos qui parcouraient l'Amérique de la Grande Dépression, le temps de Kerouac et de la Beat Generation. On the road again !

 

27/04/2020

L'ouvreuse du Studio 21

ouveuse.jpg

Eddie Mitchell a chanté la dernière séance, le vieux cinéma de quartier. Ce thème m'est cher, et je me suis arrêté plus particulièrement sur l'ouvreuse, cette dame parfois en uniforme, qui plaçait les retardataires en les guidant avec sa lampe électrique, et que l'on retrouvait à l'entracte avec son panier d'osier, vendant des confiseries. C'était le temps des westerns, des péplums, des films de cape et d'épée et de tant d'autres.

L'ouvreuse des cinémas d'antan, je m'étais déjà penché sur le sujet avec une nouvelle aux relents fantastiques que voici :

ouvreuse.pdf

Et maintenat, voici une chanson au texte réaliste. L'ouvreuse du Studio 21. Dans ma ville natale, il y avait un cinéma de quartier qui portait ce nom. Peut-être était-il situé au numéro 21 ? Je ne sais plus, mais le Studio de la chanson l'était à coup sûr.

23/04/2020

Bossa Tropica

En écrivant cette chanson, j'avais en tête le roman "Le salaire de la peur" et plus encore le film qui en a été tiré. Paradoxe, qu'une référence à un récit très dur pour une chanson baignant dans la moiteur tropicale. Mais justement, c'est l'ambiance étouffante  du village où se déroule l'action du "Salaire de la peur" que j'ai ressentie et transposée. De toute façon cette chanson est une sorte de melting pot où se mêlent un rythme brésilien un brin jazzy, un alcool mexicain et une indolence sans frontières.

La vidéo est quelque peu brute de décoffrage mais à garder et à regarder car, en arrière-plan rapproché, vous noterez ma chatte Nono se toilettant, s'étirant et repartant pour une sieste de bon aloi.

Un instantané sur tempo syncopé.