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14/02/2016

Livresque du Noir

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Quand je m'exprime à propos d'Igneus dans Livresque du Noir :

http://www.livresque-du-noir.fr/igneus/

En écriture

En écriture, actuellement avec trois tapuscrits menés de front : un thriller psychologique, un recueil de nouvelles basées sur les chats et un polar herboriste dont j'ai déjà parlé il y a pas mal d'années. Il était finalement resté dans mes cartons, ou plutôt, dans mon ordinateur. Je suis en train de lui faire une petite toilette, de le réactualiser. Il s'agit cette fois d'un polar psychologique. Quelle différence entre thriller et polar psychologique, me direz-vous ? Sans doute une question d'ambiance, voire de texture. Je laisse le côté fantastique, ambigu ou assumé pour l'instant, il n'est pas dit que je n'y reviendrai pas pour en mâtiner une trame polar, mais ce sera pour plus tard. Comme les éditions Fleur Sauvage  vont ouvrir une collection dite de littérature blanche, à savoir pas de SF, polar, fantastique, mais du roman/roman, et que j'ai justement un projet depuis pas mal d'années, allant dans ce sens, eh bien, mon prochain roman sera donc de la blanche. Mais avant tout cela, il y a "Insoumis", roman bien noir,  qui sera publié fin avril et, c'est ce qui se trouve actuellement dans la ligne de mire.

À bientôt...

 

12/02/2016

SEP

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Il y a un an, étaient sortis "Requiescant" et le recueil "Silencieuse Et Perfide". 14 auteurs, 14 nouvelles contre la SEP, avec les bénéfices reversés à l'AFSEP, pour la recherche, pour aider les personnes atteintes de la sclérose en plaques.

Un an après, vous pouvez toujours vous procurer le recueil partout où c'est possible !

09/02/2016

Igneus (4ème chronique)

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Voici une chroniqueuse qui, comme vous pourrez en juger, ne chronique pas qu'à moitié. Tout y est, une analyse fine et complète du roman, des illustrations personnelles et, bien sûr, du rock, du rock !

Je vais vous laisser lire cette super chronique, juste, pas complaisante, mais qui a cerné toute l'essence du roman, et même mes intentions cachées.

Et j'insisterai sur ce passage au sujet de la discothèque dont il est beaucoup question dans le roman, et qui a brûlé une nuit :

 

"Je trouve qu'ici des questions subsistent (qui a incendié cette fichue discothèque?) mais la fin peut apporter des élément de réponse et le lecteur reste libre d'interpréter comme il le souhaite (enfin, si c'était bien le but recherché par l'auteur)"

 

Bien vu, c'était tout à fait mon but. J'ai l'habitude de laisser vivre mes personnages, il en est de même des lecteurs...

Mais il y a des pistes, et pratiquement une réponse...

 

À lire :

 

http://benedictmitchell.over-blog.com/2016/02/igneus-de-p...

 

 

08/02/2016

Insoumis (la couverture)

Eh bien oui, je l'ai vue, mais vous comprendrez, ami(e)s  de ce blog, que je ne la dévoilerai pas dans l'immédiat compte tenu de la publication officielle et nationale du roman aux éditions Aconitum à la fin avril seulement.

Tout ce que je peux dire est qu'elle me plaît énormément, et qu'elle illustre parfaitement ce nouveau roman, son intrigue, le message qu'il véhicule, sa symbolique même.

"Insoumis" est très différent de mes deux derniers livres "Requiescant" et "Igneus" qui continuent leur chemin, plutôt bien, en dépit des attaques d'un "corbeau" dont ils sont parfois la cible.

 

In memoriam :

 

http://patricksvast.hautetfort.com/archive/2016/01/26/il-...

 

Pour revenir très vite sur cette navrante affaire, je dois confier que je suis maintenant pratiquement sûr de l'identité de ce corbeau. Il faut dire que cette personne a tellement voulu en faire, qu'elle s'est par la même occasion de plus en plus dévoilée.

Mais passons, et revenons à "Insoumis" : un roman noir, très marqué par la guerre d'Algérie, et les destins broyés.

Point de fantastique cette fois, ambigu ou assumé, mais au contraire du réalisme à l'état brut.

 

Bientôt je vous en dirai plus en souhaitant que vous réserverai un bon accueil à ce livre, autre aspect de ce que j'aime écrire, autre manière de m'exprimer.

04/02/2016

"Zazou" de Jean Mazarin, un roman swing !

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Il existe  beaucoup de raisons pour lesquelles ce roman ne pouvait pas zazous6.jpgm'échapper. J'ai toujours été passionné par le mouvement "zazou", un mouvement avant tout contestataire, s'opposant à l'occupant nazi et ses complices, tous les affidés du régime vichyste, les fanas du Maréchal et de sa révolution nationale qui n'avait rien de révolutionnaire, mais  tout de dégueulasse.

Autre point, les Zazous aimaient et écoutaient du swing, dérivé du jazz, un bon antidote aux marches prussiennes, aux chants martiaux casse-bonbons. Ce swing s'encanaillait avec la chanson populaire française, pour commettre des perles, à découvrir encore de nos jours.

Puis, le roman est écrit par Jean Mazarin, un polareux né en 1934, soit 8 ans après mon maître Georges J. Arnaud, un vieux de la vieille (au sens noble du terme, of course), qui produit une littérature qui me convient parfaitement, de celle que j'affectionne même tout particulièrement.

 

Alors, nous sommes en 1942, Paul, jeune Zazou, fils d'un flic collabo jusqu'au trognon, va tomber amoureux d'une jeune résistante juive, Anna Tronska. Bon, il est vrai que celle-ci est surtout poussée par son réseau dans les bras du Zazou pour en apprendre un maximum sur son horrible paternel. Mais voilà que le Zazou finira par épouser la cause de la résistance, jusqu'à faire le coup de feu, se débarrasser de ses frusques "swing" et écouter Django Reinardt qui ne l'était pas moins, mais appartenait à un peuple (Gitans, Tsiganes...) qui fut maltraité comme les Juifs par les tenants de l'Ordre Nouveau version années 40, avec la complicité active de la police de l'hexagone. Voir à ce sujet la rafle du Vel' d'hiv.

Évidemment, la saga de Paul et d'Anna, ce n'est pas vraiment de la bluette, mais du noir de chez noir.

Mazarin connaît son sujet, il vous décrit le monde des Zazous au cordeau, la résistance, le colonialisme nazi également, et vous plonge dans une ambiance unique et authentique, faisant les délices du roman.

Au détour des pages, on y croise Raymond Queneau, Boris Vian, Sartre... mais aussi Bousquet, préfet collabo zélé de sinistre mémoire.

Dans ce roman, on rencontre en effet de braves types, des héros, tout comme des salauds et des abjects.

Il y a de l'Histoire, de l'action, de la musique...

Et cerise sur la gâteau, ce récit se déroulant en juillet 1942, est carrément écrit au présent, histoire de bien booster l'intrigue.

Pas d'hésitation, lisez-moi ça au plus vite.

Je me permettrais un aparté au cas où vous ne seriez pas encore convaincus. Pour moi, ce roman a fait office de thérapie, car je l'ai lu d'une traite, alors que ces derniers temps, il y en  a une paire qui me sont tombés des mains à peine passée   la trentième page. C'est tout dire !

 

Zazou

 

Un roman de Jean Mazarin, auteur tout à fait recommandable

 

275 pages

 

17 euros, ça les vaut largement

 

C'est édité par l'Atelier Mosésu

 

Collection 39/45 créée par Gilles Guillon et dirigée par Sébastien Mousse

 

ISBN 979 - 10 - 92100 - 38 - 9

 

À vous procurer partout où vous le pouvez

 

et pourquoi pas sur le site de l'éditeur :

 

http://www.atelier-mosesu.com/boutique/zazou/

 

Et quand on parle du swing, on voit Johnny Hess :