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21/06/2020

Sous la verrière

Comme je l'ai souvent dit, j'ai vécu plus de dix ans à Toulouse. J'avais l'habitude de me rendre dans une brasserie située à la place Esquirol (nommée dans le texte de la chanson". Je me plaçais sous la verrière, chauffée en hiver, climatisée en été. Un crème à la mauvaise saison, une glace à la belle, et je demeurais contemplatif, contemplateur. Le spectacle de la place me suffisait et constituait des instants magiques.

Je ne pouvais qu'écrire une chanson sur cet endroit, dédiée bien sûr à la verrière en question.

L'ombre des châteaux

Au cours de l'automne-hiver-printemps 1977/1978, j'ai séjourné à Avignon. La ville pouvait être fière de posséder un cinéma Utopia qui proposait des films d'une rare qualité. Parmi eux, figurait en bonne place "L'ombre des châteaux", un film qui, d'après le fascicule rédigé par Utopia, avait fait environ une petite dizaine d'entrées à Paris à sa sortie. Je me suis toujours étonné de voir moult personnes faire la queue pour obtenir leur content de daube garantie, et snober, dédaigner, je dirais presque, humilier des petits bijoux. Mais il en va ainsi en de nombreux domaines. Évidemment, ce film a connu une carrière très courte, pour na pas dire inexistante et, d'après ce que j'ai pu lire, il en été retrouvé une copie quasiment par miracle. Eh oui, ça existe les miracles. La preuve, 43 ans après sa "discrète" carrière, "L'ombre des châteaux" est désormais disponible en DVD. Il existe des moments où l'on ne peut que louer le progrès. Alors, je ne puis que vous inciter fortement à découvrir ou, qui sait, à redécouvrir ce long métrage.

Un petit extrait (ci-dessous) pour avoir une idée de ce qui aurait dû, et doit encore, passer à la postérité en tant que grand film.

19/06/2020

Le Café des Mariniers

Je ne pouvais que citer Georges Simenon dans cette chanson que j'ai écrite sur le monde des mariniers. Plusieurs romans de Simenon se déroulent dans ce milieu. Né au bord de la Manche, je vis depuis plus de 20 ans à proximité du canal de Béthune, des péniches, de leur univers. Source d'inspiration évidemment, avec comme point d'orgue, un café, un bistrot, port d'attache et de convivialité.

16/06/2020

Tranquille

Nature et calme, loin du tumulte, des épidémies et des misères de ce monde.

Lieu d'inspiration par excellence.

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15/06/2020

Week-end dans l'ascenseur

En écrivant cette chanson, j'ai bien sûr pensé au film de Louis Malle "Ascenseur pour l'échafaud", tiré, il faut le rappeler, d'un polar de Noël Calef, romancier que j'apprécie bien sûr. Mais j'ai aussi pensé fortement à la mésaventure (doux euphémisme), étant arrivée à une personne que j'ai rencontrée et même côtoyée, qui s'est retrouvée dans cette épouvantable situation avec son épouse et son fils. Dans le texte de ma chanson, cela n'arrive qu'à une seule personne et cela suffit bien. J'ai tout de suite songé à un accompagnement à base de percussions, à un tempo soulignant bien l'urgence de la situation et surtout la dramaturgie de longues heures passées dans un ascenseur en panne.

Ambiance :

Un blues de fin d'été

"Quand vient la fin de l'été sur la plage…". C'était un slow des Chats Sauvages dans les années 60. La fin de l'été inspire-t-elle toujours le blues ? En ce qui me concerne septembre marquera peut-être enfin le retour des salons du livre et des dédicaces en librairies. J'ai écrit cette chanson bien avant le Covid et donc elle prend une résonnance différente en ce mois de juin 2020.

En tout cas, je vous laisse apprécier :